Avec le lancement de son action sur Instagram pour réguler le tourisme de masse, l’ONG WWF invite à repenser la place donnée à la géolocalisation dans notre utilisation des réseaux sociaux.
Le réseau social de partage de photos se présentait dès ses débuts comme un tremplin pour certaines destinations encore en mal de touristes. Pour le secteur des voyages le potentiel est énorme : le réseau social racheté par Facebook compte 1 milliard d’utilisateurs actifs mensuels dans le monde et 14 millions d’utilisateurs actifs mensuels français, soit 21% de la population. Les terres préservées il y a encore à peine cinq ans, récoltent désormais des “K”* à la pelle sur Instagram. Si ces millions de références donnent un coup de projecteur intéressant sur une région, un site, ils attestent surtout du passage de millions de touristes inspirés par les mêmes envies de voyages, grâce à un outil notamment : la géolocalisation. C’est avec la 3e version de son application en 2012 que le réseau social a introduit cet outil désormais communément utilisé. Outil qui n’est pourtant pas sans lien avec le tourisme de masse.
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